Arborosa n°42
Résumé
L’année 2018 est un bon cru pour les publications Arborosa, depuis peu gérées par le Graappa (Groupe de Recherche Active des Associations du Patrimoine du Pays de L’Arbresle). Cette année, sont déjà parus : le numéro classique 41 et deux […]
L’année 2018 est un bon cru pour les publications Arborosa, depuis peu gérées par le Graappa (Groupe de Recherche Active des Associations du Patrimoine du Pays de L’Arbresle).
Cette année, sont déjà parus : le numéro classique 41 et deux numéros hors série, l’un traitant du chanvre dans notre région et de son futur possible et l’autre de l’histoire de la Route nationale 7, entre Lyon et le Pin Bouchain, depuis des temps immémoriaux à aujourd’hui.
Un Dossier d’Arborosa qui vient de paraître nous conte la vie à l’arrière du front pendant la Grande Guerre au travers de l’histoire douloureuse de Marie Chambe de Saint Julien sur Bibost.
Ce numéro 42 commence par la seconde partie de la vie à l’école du père Perret, comme on l’appelait avant guerre, écrite par Mme Ceschino, institutrice, qui nous livre ses souvenirs et ses témoignages dans un style vivant et plaisant.
Jean Paul Missire nous raconte l’histoire d’un notaire de Savigny et d’un ex-huissier de L’Arbresle qui sont traduits en justice pour rédaction de faux actes authentiques, sous Napoléon 1er.
Martial Subrin a développé un article étoffé sur le compagnonnage et les compagnons qui ont exercé plus particulièrement à L’Arbresle. (la seconde partie paraitra dans le n°43)
Daniel Broutier présente l’histoire du passage de Saint Vincent Ferrier, en 1417, qui séjourna à Courzieu et à L’Arbresle avant de se rendre à Lyon. Le séance de soin de ce saint ne sont pas sans rappeler un autre personnage illustre : M Philippe.
Dans ce numéro est publiée l’histoire des tentatives d’exploitation de charbon dans la région de L’Arbresle. Marie Jeanne Espejo évoque celles de Courzieu. et Daniel Broutier celles de Savigny-L’Arbresle.
Une courte histoire de l’implication solidaire de savignoises pendant la Grande Guerre est relatée par André Bouvier.
Nous clôturerons cet Arborosa par la publication d’un article de Mlle Claudia Fougère, correspondante au quotidien : « L’Echo Liberté » avant guerre. Elle nous expose l’histoire de travaux dans le quartier de la Madeleine et des découvertes archéologiques surprenantes qui avaient alors été faites.
En conclusion, nous tenons à remercier tous ces bénévoles du Pays de L’Arbresle qui consacrent beaucoup de leur temps personnel à effectuer des recherches, à rédiger et à mettre en page cette revue historique.
Daniel Broutier