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L’évêque de Durham, Robert de Stichill meurt à Arbipollis (L’Arbresle) en 1274.

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Gaspard Claude de Claret de Montverdun Gouverneur de L'Arbresle

Jacques-Annibal Claret de Fleurieu eut, en plus de cinq filles, quatre fils : l'ainé, fut prénommé Camille Jacques Annibal Gaspard (1727-1794) ; le second, Marc Louis Antoine (1729-17963), ami de Jean-Jacques Rousseau et disciple de Jussieu, es...    Lire l'article


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La Résistance à L'Arbresle

Dans le cadre de la préparation de l’exposition sur la Libération de l’Arbresle en 1944, nous avons eu l’honneur et le plaisir de rencontrer plusieurs personnalités ayant participé activement à cette période importante de notre histoire. Pierre Alévêque est de ceux-là.

Le 18 août 1944 il a participé à l’action de sabotage de la gare de l’Arbresle, qui devait freiner considérablement le fonctionnement des transports allemands. Nous avons recueilli son témoignage.

Constitution et identité du groupe de Résistance de l’Arbresle / Sain-Bel

Qui étaient ces combattants de la Résistance vivant au milieu de la population du secteur de L’Arbresle ? Et vous-même Pierre Alévêque, qui êtes-vous ?

Né à Saint-Germain-sur-l’Arbresle, j’ai vécu mon enfance et mon adolescence à l’Arbresle, que j’ai quitté pour ma carrière militaire. De retour à l’Arbresle en 1942, à la dissolution de l’Armée française par Vichy j’ai choisi de ne pas me réfugier dans l’attentisme d’un hypothétique jour J de la Libération.

A quel moment a été constitué votre groupe de Résistance ?

C’est à partir de juillet 1943 que notre groupe de “Résistance-Ville” a été formé réellement et organisé, en liaison directe avec la direction du maquis de la vallée d’Azergues, devenu le "Bataillon du 14 juillet".

De qui était formé le groupe arbreslois de Résistance ?

Nous étions au départ quatre à six jeunes hommes animés du même esprit et de la même foi patriotique. Nous étions de la région, de l’Arbresle, de Sain Bel ou de Savigny…

Dès la fin de 1943, le groupe pouvait rassembler, pour une opération, une douzaine d’hommes armés.

Je ne manquerai pas de nommer ici mes deux premiers camarades arbreslois avec lesquels a été constitué le groupe, et qui ont honoré la Résistance par leur total engagement, leur courage et leur attachement à la France. C’étaient Henri Balmas alias  "Ramier" qui hélas nous a quittés, et Lucien Joliet, alias  "Mousse", que j’ai plaisir à rencontrer à l’Arbresle.

Dans quelles conditions et dans quelle ambiance vivaient chaque jour ces résistants, au milieu de la population ?

Faut-il rappeler que la population subissait depuis plus de deux ans, le matraquage de la propagande nazie, cautionnée hélas par Vichy.

De plus l&rsq...



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