

Vers 1880, l'Arbresle, dont la superficie totale est de 330 hectares, possède 100 hectares de vignes. Le phylloxera en détruira les trois quarts mais, dès 1886, on replante des cépages américains. En 1903, 80 hectares de nouvelles vig...
En 1274, se tient le second concile de Lyon  présidé par le pape Grégoire X. Jacques 1er d’Aragon, l’ambassadeur de Michel Paléologue, empereur de Byzance, les membres du clergé grec ainsi que 500 évêques, 60 abbés (dont ...
Jacques-Annibal Claret de Fleurieu eut, en plus de cinq filles, quatre fils : l'ainé, fut prénommé Camille Jacques Annibal Gaspard (1727-1794) ; le second, Marc Louis Antoine (1729-17963), ami de Jean-Jacques Rousseau et disciple de Jussieu, es...
Arborosa Hors Série : « Les dépendances de l'abbaye de Savigny »
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A L'Espace Découverte, 18 place Sapéon, retrospective de 60 ans de peinture de Guy Bonetto. L'exposition est visitable aux heures de l'ouverture de l'Office de Tourisme et les 1er et 3ème dimanche de chaque mois du 1er novembre au 31 janvier 2015. Guy Bonetto est né le 4 janvier 1931. Il est diplômé de l'École des Beaux-Arts de Tunis en Arts décoratifs et Architecture. Il y professe la peinture de 1952 à 1965 dans des établissements scolaires tunisiens tels que le lycée Carnot de Tunis, l’Ecole Normale d’institutrices et l’Institut Culturel Italien « Dante Allighieri ». Il fait alors partie de l’école de Tunis et expose dans différents salons en Tunisie. En janvier 1964, il obtient, lors de l’exposition des peintres tunisiens de Milan, le 3ème prix et en 1965 le 1er prix du salon de Tunis.
En France depuis 1965, actuellement domicilié à Lentilly, il a été professeur dans plusieurs lycées de la région lyonnaise (au LEP de Belleville-sur-Saône, au LEP du 1er film à Lyon, au LEP de L’Arbresle, à la Chambre des Métiers du Rhône et à l'École d'Esthétique Cosmétique Carole Peyrefitte à Lyon…)
Nourri par les grands courants picturaux du XXème siècle, le paysage urbain l'attire comme le montrent ses grandes vues de Lyon. C'est un coloriste né qui a choisi de fragmenter les surfaces tout en respectant l'esprit des formes. Sa peinture au couteau est cadrée. Le volume est omniprésent et le mouvement règne en maître. Au réalisme des paysages vient se greffer une touche impressionniste.
Ses expositions sont le reflet de la réflexion doublée d'une expression ; on sent que l'artiste travaille pour le plaisir des autres.
C'est, comme il le dit, de la peinture classique à interprétation moderne ; classique, car on reconnaît ce qu'il y a dedans. Ce n'est pas de l'hyper-réalisme, mais cela se situe après l'impressionnisme sans l'être vraiment. Pour Guy Bonetto, la peinture ne se raconte presque pas : elle se pense, se réfléchit pour mieux mûrir, se distinguant ainsi des autres arts, car elle représente l'essence même des sensations que l'esprit a du mal à exprimer par les mots. Et il ne s'agit pas pour autant d'un art figé, puisqu'il nécessite un travail constant dans la recherche et le renouvellement des tons et des formes.
Du classicisme prude à l'abstrait dénudé, son atelier rassemble toutes les écoles, à la grande satisfaction de ses élèves. Pour ce diplômé des Beaux-Arts, enseigner sa passion est devenu presque une seconde nature.
À ses débuts, il resta fidèle à son désir de traduire la vie quotidienne puis par l'usage de petites touches, à la manière des impressionnistes, il sacrifia à l'école abstraite avant de revenir à sa première maniè...
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